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Exposition 2020/2021

Quand les PHARES inspirent…

Le phare des Casquets en particulier est aujourd'hui une triple tour blanche portant trois châteaux de lumière. Ces trois maisons à feu évoluent et pivotent sur des rouages d'horlogerie (…). La bâtisse qui enferme, soutient et sertit ce mécanisme est, comme lui, mathématique. Tout y est sobre, exact, nu, précis, correct ; un phare est un chiffre.

Victor Hugo ‘’L’homme qui rit’’

 

A Saint-Gilles-Croix-de-Vie et tout près du feu de la tour Joséphine, face à la mer, notre site littéraire a souhaité cette année présenter la création littéraire suscitée par l’image des phares et celle des hommes qui les gardaient ou les construisaient.

La Révolution française fait le choix que l’éclairage des côtes sera un bien public. En 1811, la ‘’Commission des phares’’ est créée. Elle a pour mission l’éclairage systématique et raisonné des côtes de France. En 1825 est présenté l’ambitieux projet de ceinture lumineuse. Il sera entièrement réalisé en 1860. Il s’agissait de naviguer de Bayonne à Dunkerque en ayant toujours un phare en vue. En effet avant cette date nos côtes étaient peu éclairées. Cette commission organise des expériences scientifiques avec le physicien Arago, l’astronome Mathieu et l’ingénieur Augustin Fresnel qui, avec sa lentille, révolutionne la portée lumineuse des phares, faisant de la France un pays de référence pour les autres nations maritimes. On s’inspire de la forme des phares britanniques, en forme de tronc de chêne pour amortir le choc des vagues. La France comptait 59 phares et feux en 1800, elle en comptera 330 en 1872 et 690 en 1895 et devient leader de la signalisation maritime.

Le courant romantique aidant, on comprend mieux la fascination des auteurs devant la profusion de ces chantiers souvent dantesques et ces nouvelles formes architecturales où des hommes isolés maintiennent chaque nuit, coûte que coûte le feu qui produit un faisceau salvateur pour les marins regagnant la côte. Le temps est donc venu où ‘’les PHARES inspirent…’’

 

Les travaux complexes de mise en œuvre de l’éclairage des côtes va, dès les premières constructions, notamment pour les tours érigées en mer, impressionner la population maritime, les journalistes et les auteurs. Pensez, pour le phare d’Ar men (le rocher en breton) les travaux ont duré 17 ans et la première année en 1867, il n’y eut sur 100 heures à la mer que 8 heures de travail effectif sur le rocher. Ce sont autant de rebondissements que d’exploits, prompts à nourrir la fiction.

On succombe donc, au nom d’un savoir-faire français audacieux, à mettre les phares en scène, les ingénieurs et les gardiens sur le devant tant on est subjugué par les techniques mises en œuvre, la monotonie des journées, la rigueur monacale de leur vie et leur courage face aux éléments. Un phare, des gardiens, la relève, la tempête, les ingrédients sont sous les yeux de l’auteur pour nourrir un bon roman.

 

Malcom Lowry titrait l’un de ses recueils de poèmes : ‘’le phare appelle à lui la tempête‘’. Les phares ont également appelé à eux tous les genres littéraires : la poésie, le roman, le thriller, l’essai, la chronique, le témoignage, le récit dessiné. Pour cette exposition, tous les ouvrages, tous les styles sont convoqués, du réalisme le plus factuel au paroxysme du fantastique.

 

Dès les premiers feux, juchés au sommet de tours et dont le phare d’Alexandrie est la première forme aboutie, ces sentinelles de nos côtes ont revêtu un caractère quasi sacré. Aujourd’hui leur technologie complexe garantit la sécurité nocturne des marins, pour les guider à bon port. Les phares, juchés sur des promontoires emblématiques, dispersés autour du monde signalent des côtes dangereuses, rappellent aux gens de terre comme aux marins le caractère souvent impétueux des eaux qui les entourent et qui portent leurs aventures.

 

Dans notre Maison, les romans des phares bretons côtoieront le phare royal de Cordouan ou les visions de Victor Hugo.

Jules Verne subjugué par le phare du bout du monde fera face aux textes de jeunesse de Robert Louis Stevenson et à sa prestigieuse famille d’ingénieurs et de constructeurs de phares.

Les grands auteurs comme celui de ‘’Quo-Vadis, Henryk Sienkiewicz, ou Henri David Thoreau, Francisco Coloane, Nicolas Bouvier, Joseph Kessel, Yukio Mishima, Albert Londres, Jules Michelet ont eux aussi été subjugués par la charge romanesque de l’objet et de son environnement, au travers de nouvelles, de récits, de romans, de poèmes.

Nous ferons également une place aux auteurs de bande dessinée auxquels nous consacrerons sur la promenade Marcel Ragon une trentaine de panneaux dédiés à des œuvres inspirées par les phares.

 

Les fonctions automatisées ne nécessitent plus la présence en mer des gardiens du feu pour produire l’éclat providentiel. La dernière des relèves est venue. Un par un, nous les avons vu suspendu à une sangle d’hélicoptère saluer une dernière fois la tour carcérale, dire adieu à leur second foyer.

Ils y entretenaient le feu par tous les temps, dans un huis clos parfois infernal les nuits de tempête, de grand vent, de mer déchainée. Ces nuits où les murs tremblent à chaque attaque des flots, quand le doute s’installe, quand les vitres se brisent sous la charge et que la lame manque de remonter jusqu’à la flamme. Et que, le cauchemar de voir la tour centenaire s’écouler devant les coups de boutoir d’une mer en furie, envahissait soudain l’esprit du gardien, ivre du vacarme.

 

Fascinés, les auteurs se sont donc appropriés l’objet, enrichi au cours des années de la technicité optique et horlogère des lanternes et de l’humanité des gardiens et des ingénieurs. Les phares sont entrés en littérature, devenant des personnages de romans sous une lumière changeante et tourmentée éclairant de leurs éclats un pan de la littérature maritime.

 

Serge Aillery

‘’Maison des Écrivains de la Mer’’

 

 

 

 

 

Président de la maison des Écrivains de la Mer
La Maison des écrivains de la mer à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, vous propose cette saison de
découvrir l’odyssée de Narcisse Pelletier : Narcisse est de retour. Cette exposition est
organisée en partenariat avec les Amis de Narcisse Pelletier et la SEMVIE. Car elle se déroule
à la fois sur la promenade du port de plaisance et dans notre site littéraire.
Résumons brièvement son histoire. Ce mousse né en 1844, quitte Saint Gilles à 12 ans et ne
retrouvera les siens que le 2 janvier 1876. A la suite d’un naufrage avec le ‘’Saint-Paul’’, il est
abandonné par son capitaine sur les côtes australiennes du cap York, où il sera recueilli et
adopté par un clan Aborigène. Il vivra 17 ans parmi eux avant de se faire enlever par un
bateau de pêche anglais en avril 1875 et de regagner la France via Brisbane, Sydney,
Nouméa, Rio de Janeiro.
Satisfaire des visiteurs curieux
L’incroyable destin de Narcisse Pelletier a fasciné. A chaque visite dans notre maison où
nous lui avions réservé un très petit espace, on nous demandait de plus en plus de précisions
sur son naufrage et son séjour aux antipodes. D’autant qu’en 2012, François Garde avait
publié ‘’Ce qu’il advint du sauvage blanc’’. Un roman dont l’auteur avait opportunément
conservé le nom de Narcisse Pelletier pour identifier son personnage ‘’fictif’’. La fiction pour
beaucoup de lecteurs devint réalité. Le prix Goncourt du premier roman lui fut décerné. Il
n’en fallait pas plus pour remettre Narcisse au premier plan, au moment même où un auteur
de bande dessinée, Chanouga, entreprenait dès 2014 d’adapter son histoire en trois tomes.
Un destin mis de côté et des informations dispersées
De quoi disposions-nous ? Chronologiquement, d’un livre introuvable : Dix-sept chez les
sauvages, Narcisse Pelletier notice de Constant Merlan. Il ne figure pas dans les collections
de la Bibliothèque Nationale de France. C’est le récit recueilli de la bouche même de
Narcisse Pelletier par le médecin Constant Merland (alias Charles Merland, auteur vendéen)
accompagné d’une photographie, réalisée pour cette publication.
Il fallait verser au dossier la présence d’un célèbre témoin lors de son retour. C’est le
prolifique docteur Marcel Beaudouin, il a 15 ans à l’époque. Il écrira deux articles l’un en
1911 pour dénoncer le fait qu’on isola Pelletier à son retour dans un phare.  Le second en
1933 qui se veut plus scientifique, sur le fonctionnement du lanceur décrit dans le livre de
Constant Merland. Il titre : ‘’Les propulseur à crochet de Papousie’’. N’oublions pas ses
carnets où l’on découvre de précieuses notes sur la dernière partie de sa vie à Saint- Nazaire.
Il faut ensuite attendre Joseph Rouillé qui mène dès 1950, une enquête épistolaire auprès
des autorités australiennes dans le but de recueillir des informations fiables et vérifier le
texte de Constant Merland, ainsi que le lieu de séjour de Narcisse Pelletier sur le sol
australien.
Par ailleurs, les témoignages qu’il recueillera, auprès des anciens de Saint-Gilles, ayant
assisté au retour de Narcisse, compléteront cette recherche. Tous ces éléments
contribueront à la rédaction d’une série de douze articles, complétés opportunément par
trois témoignages, également édités par « La Résistance de l'Ouest », dont l'auteur était
alors correspondant et rédacteur. Ces articles que nous avons exhumés, seront les prémices
de trois ouvrages dont le premier « De Vendée en Australie, l'aventure d'un mousse
vendéen », publié en 1967, illustré par Henri Simon et dans la préface duquel il note ses
démarches auprès des autorités Australiennes. Nous pourrions citer également Maurice
Trogoff pour son roman ‘’Mémoires sauvages’’, un récit écrit à la première personne.
De notre côté quelques amis avaient entrepris ou continué la collecte des informations et
nous nous sommes aperçus que, tel un ‘’marronnier’’, le sujet ‘’Narcisse Pelletier’’ était
présent épisodiquement dans la presse française ou australienne, les magazines, les revues,
la presse jeunesse, dans les monographies vendéennes…et ce, dès 1875.
A Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Narcisse Pelletier n’est pas, bien entendu, un inconnu. On pense
immanquablement à lui quand on croise sur le pont la statue du mousse qui scrute la Vie.
Une promenade porte son nom et dans un square une borne d’information résume pour les
promeneurs son histoire. A côté, les enfants peuvent également naviguer dans un océan de
sable sur un ‘’Saint Paul’’ stylisé, le navire sur lequel Narcisse fit naufrage.
Le souvenir de Narcisse Pelletier commencerait-il à s’effacer des mémoires ? Certainement
pas. Il se régénère régulièrement. Car épisodiquement au cours des dernières décennies,
nous vîmes l’intérêt être relancé par les enseignants des écoles primaires qui travaillèrent
sur le thème en montant des spectacles avec leurs élèves. Le dernier en date est celui
présenté au mois de décembre dernier par l’école des Salines.
Au fil des ans, une petite communauté de chercheurs s’est constituée donnant des résultats
tangibles. De même l’intérêt pour Narcisse s’est brusquement transporté à Marseille et à
Toulon grâce à la publication de la série ‘’Narcisse’’ dessinée par le marseillais Chanouga. On
ne sait pas suffisamment que l’image de ‘’Narcisse’’ a été présente au musée de la Marine
de Toulon pendant un an en 2017. Pendant un an son portrait dessiné figurait en façade du
musée, cette ancienne porte de l’arsenal qu’il avait franchi le 18 décembre 1875 en posant
son sac à Toulon. A Marseille, on a retrouvé récemment la route précise du Saint Paul vers
Hong-Kong. Vous découvrirez que Narcisse a fait au moins une impasse dans son récit à
Merland. Ce n’est pas la seule. Les recherches continuent et d’aucuns ne désespèrent pas
tenir un jour en main le plan du Saint-Paul ou la photo du mariage de Narcisse à Saint-
Nazaire.
Narcisse Pelletier Aborigène
Tout ce que nous savions de son séjour australien nous le devions à la plume du docteur
Constant Merland et à l’annexe confiée à Édouard Garnier pour recueillir les airs
‘’Ohantaala’’ auprès de Narcisse. Merland concluait : ’’Il n’était plus Français il était devenu
Australien’’
Depuis tout ce temps, personne n’avait enquêté sur sa vie Aborigène. Comme on ne
recueillera pas, après quelques années, le sentiment de Pelletier sur ce retour contraint et sa
réadaptation à la vie occidentale.
Il fallait après tout ce temps, relire le texte original et enquêter aux antipodes.
Madame Anderson s’en chargera. Stephanie Anderson est une anthropologue Australienne,
francophone qui au cours de ses recherches découvrira l’existence de Narcisse en 2004 en
lisant une communication de la Société Anthropologique de Paris, un article de Charles
Letourneux intitulé : Sur un Français nommé Narcisse Pelletier qui oublia sa langue chez les
Australiens. On y mentionne la rencontre de Pelletier avec le consul de France à Sydney.
Intriguée par ce texte, Madame Anderson se procure le livre de Constant Merland grâce à
internet et pour l’anecdote, chez un libraire du Caire. Elle enquête en France et en Australie.
En 2009 paraît en anglais ‘’Pelletier le mousse oublié du cap York’’. Ce livre est depuis peu
disponible en Français. Il est composé de trois parties. Une biographie de Narcisse dans
laquelle elle exploite des photos de Pelletier inédites jusqu’en 2004 puis une seconde partie
confiée à Athol Chase. Athol Chase est un ethnologue qui travaille depuis quarante ans avec
les clans de la côte est du cap York où séjournait Narcisse. Plus exactement aujourd’hui près
de la commune de Lockhart-River. Enfin elle traduit dans une troisième partie le texte de
Merland pour les anglophones et elle le commente à la lumière des connaissances
anthropologiques. Les recherches actuelles sur le clan de Narcisse confirment en grande
partie les chapitres de Constant Merland et attestent que le témoignage de Narcisse est la
première recension anthropologique de la culture orale des Aborigènes des plages du cap
York. En 2016 et en écho à ces travaux deux vendéens donnaient : ‘’Narcisse Pelletier, la
vraie histoire du sauvage blanc’’. Ce beau livre, récompensé et extrêmement illustré, permet
de visualiser les lieux et les clans où avait séjourné Narcisse voire les côtes où il fit naufrage.
Il est accompagné des œuvres du plasticien Thomas Duranteau et donne au lecteur en
marge du récit de Merland, des commentaires ou les découvertes récentes de Xavier
Porteau comme une lettre inédite de Narcisse rédigée à Sydney ou le portrait de Constant
Merland.
Rendez-vous à ‘’La maison des Écrivains de la Mer’’
En nous appuyant sur cette documentation, les témoignages, les dernières recherches, la
presse, la littérature, les écrits scientifique, les représentations graphiques et
photographique nous proposons au visiteur une découverte de l’itinéraire de Narcisse
Pelletier. Il déclencha à son retour un engouement vite éteint par un contexte historique
perturbé et des sciences humaines balbutiantes qui n’avaient pas le désir d’approfondir
voire de tirer profit du voyage traumatisant de cet homme entre deux cultures. Un seul
journaliste à l’époque se souciera de son sort et posera la seule question pertinente à savoir
si Narcisse ne serait pas tenté un jour de rejoindre sa nouvelle famille à laquelle il venait
d’être arraché.
‘’Narcisse est de retour’’ exposition sur la promenade Marcel Ragon à partir du 15 mars
‘’Narcisse est de retour’’ exposition à la Maison des Écrivains de la Mer dès le 6 avril.

     Reprise de l'exposition le 20 mai 2021

 

’'quand les PHARES inspirent…UN PHOTOGRAPHE’ 
exposition sur la promenade Marcel Ragon à partir du 9 mai 2021.

Quand les Phares inspirent…un photographe

 

Plantés à l’extrémité des terres signalant le trait rocheux des côtes, mis en œuvre et gardés par des hommes solitaires et rigoureux, les phares ont fascinés les artistes. Ces architectures complexes figures de proue de nos côtes, garantissent la sécurité des marins et de leurs navires.

La Maison des Écrivains de la Mer et la SEMVIE vous présentent au cours de cette promenade quelques images de ces phares, prises dans leur environnement.

Vous pourrez poursuivre cette découverte des phares à la maison des Écrivains de la Mer.

Seul le photographe,  Marcel Mochet qui a parcouru les mers du monde entier, pouvait donner à voir la situation névralgique et périlleuse des ‘’sentinelles de la mer’’ tant ses photos donnent sens à la mission qui incombait aux hommes qui veillaient en permanence sur les ‘’ Feux’’ de notre littoral.

 

 

Marcel Mochet, photographe

 

La mer est une ennemie mortelle…

Elle engloutit les hommes qui ne se sont pas prémunis contre elle.

Mais j’aime la liberté et la force morale qu’elle procure.

Travailler dans l’univers clos et austère d’un navire perdu sur cette immensité rend humble et fortifie l’âme et le cœur.

 

Ancien photographe de l’Agence France-Presse pendant plus de 30 années, Marcel MOCHET a débuté sa carrière en couvrant pour l'AFP divers évènements nationaux et internationaux ; depuis l'actualité sportive (Jeux Olympiques) aux conflits (Iran/Irak, évènements de Pologne, Liban etc..).

C'est finalement la photo maritime qui a fixé le travail de Marcel MOCHET.

Pendant plus de 20 ans, responsable de la couverture photo pour son agence dans la région Ouest, il a couvert également en France et à l'étranger l'ensemble de l'actualité maritime: pêche hauturière, marine nationale, marine de commerce, offshore, course au large, etc.... Il embarque donc régulièrement pendant de longues périodes sur les bateaux sillonnant le globe, des mers froides de Norvège et des îles Kerguelen aux eaux chaudes du Pacifique ou des Caraïbes.

Du fait de son travail, Marcel MOCHET possède actuellement l'un des plus important fond de photographies maritimes en France. Ses photos sont régulièrement visibles sur les cimaises des salles d'expositions françaises et dans diverses publications nationales et internationales.

Marcel MOCHET a été primé au prestigieux « World Press Photo » en 1984. Il a également obtenu le 1er Prix album de l’Académie de Marine pour son livre «Les pêcheurs des Extrêmes  » (Éd. du Rocher), élu meilleur livre maritime de l'année 2015 par le jury littéraire du salon Nautique. Il est également l'auteur du livre “Les ouvriers des océans” (Éditions. Palantines).

Pour l’anecdote, il est l’auteur de la fameuse photo du  ‘’geste de Verdun’’, prise à l’ossuaire de Douaumont le 22 septembre 1984, où le Président François Mitterrand et le Chancelier Helmut Kohl, main dans la main commémorent la mémoire des morts de la première guerre mondiale.

 

Ouverture de mai à juin et de octobre à février  : jeudi, samedi et dimanche 15h-19h

Ouverture en Juillet-août-septembre : du mercredi au dimanche 15h-19h

Les règles sanitaires seront appliquées lors des visites

( pass sanitaire, port du masque obligatoire, distanciation physique, gel hydro alcoolique.)

Lieu : maison des écrivains de la mer

Celles et ceux qui assurent les permanences de l'expostion : Jean, Denis, Brigitte, Serge (président), Jean-Luc, Paul (vice-président), Jean-Louis et Alain.